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“Villes de Merde” : Yaoundé et Douala s’effondrent alors que l’empire Bulu-Béti pourrit de l’intérieur

Douala capitale economic dans la merde

Par The New Akwaya a
Bokwango, Ambazonie –

BUEA – juin 2025
Yaoundé pue le déni. Douala empeste l’échec. Jadis vantées comme les fiertés de la République du Cameroun, ces deux villes sont aujourd’hui connues du peuple sous un nom bien plus évocateur : « Villes de Merde ». Et ce n’est pas une métaphore.

Ces centres urbains, autrefois symboles de l’autorité centralisée, s’effondrent sous le poids de l’incompétence, du tribalisme politique et d’une corruption qui se déverse plus vite que les eaux usées dans les caniveaux de Mokolo. Pendant que le régime Bulu-Béti brûle des milliards à vouloir assimiler l’Ambazonie, ses propres capitales se noient dans la saleté — au propre comme au figuré.

Opération Assimilation : Jetée aux égouts
Le plan ? Utiliser chaque franc CFA pour effacer l’identité ambazonienne à coups de pots-de-vin, de balles et de slogans vides. Le résultat ? Une crise d’égout national.

Alors que les Ambazoniens construisent des écoles avec leurs propres moyens, Douala patauge dans des flaques de honte et Yaoundé organise des « forums pour l’unité » dans des stades où les moustiques sont les seuls spectateurs fidèles. L’argent du développement finance des ONG fantômes, des voyages diplomatiques bidon et des déclarations de paix sans suite.

Et tout cela pendant que Paul Biya — le propriétaire fantôme de la nation — vole de palace en palace pendant que son peuple puise de l’eau dans les nids-de-poule.

Capitales ou latrines nationales ?
Toilettes dorées pour les ministres. Toits percés pour les écoles.

À Yaoundé, la toilette publique la plus chère d’Afrique centrale a été inaugurée le mois dernier avec cérémonie, fanfare et… aucune chasse d’eau fonctionnelle. Coût total : plus qu’un hôpital de district. Le ministre de l’Hygiène l’a saluée comme « un symbole de la dignité nationale ».

L’ironie ? À quelques mètres de là, des enfants défèquent dans des sachets en plastique qu’ils jettent dans les rigoles. Bienvenue dans l’héritage architectural de Paul Biya.

Kleptocratie tribale et retour du karma
L’élite Bulu-Béti — bardée de diplômes en népotisme et de doctorats en décadence — a fini par atteindre sa date de péremption.

Les routes sont des pièges. Les hôpitaux sont des morgues équipées de goutte-à-goutte. Et les coupures de courant sont plus fréquentes que les discours de cabinet.

Mais au lieu de changer, ils persistent. Ceux qui ont fui les flammes au Sud voient à la télévision des appels à l’unité diffusés depuis des studios climatisés de Douala — où même les rats réclament des fonds d’assainissement.

L’histoire se répète
La France aussi s’est surestimée. Le roi Louis XIV se vautrait dans les fêtes et les fontaines pendant que la France s’endettait à vouloir dominer l’Amérique du Nord. Le prix de sa démesure ? Faillite, humiliation et la tristement célèbre vente de la Louisiane, où la France cède près d’un tiers du futur territoire américain pour à peine 16 millions de dollars.

Mais au moins, la France possédait de vrais actifs à vendre.

La République du Cameroun, elle, n’a que Chantal Biya — Première Dame de vitrine, dotée de perruques défiant la gravité — qui, selon plusieurs sources, fait la tournée des proches collaborateurs de Biya pendant que ce dernier ronfle et bave sur les fauteuils présidentiels.

Pendant ce temps, les dépenses somptueuses de Biya dans les suites de l’hôtel Intercontinental à Genève, ses jets privés affrétés à prix d’or, ne reflètent en rien la réalité crue d’un pays où vivre à côté d’une montagne d’ordures est désormais considéré comme un privilège, comparé aux milliers de sans-abri.

Ce tragique état des lieux remonte à l’alliance impie de 1961 entre la puissance coloniale française et l’ambition Beti — scellée non seulement par des signatures, mais aussi par l’échange de femmes, de travailleuses françaises et de jeunes garçons servant de “ports amicaux” pour les escapades adultères. Voilà le socle moral du « grand Cameroun ».

Un socle qui s’effondre aujourd’hui comme les trottoirs de Yaoundé sous la pluie.

Avertissement de l’histoire
En 1884, les Allemands construisaient des chemins de fer. En 2025, Biya construit des ronds-points — inachevés, surfacturés, et fêtés comme des chefs-d’œuvre de l’unité nationale.

La capitale coloniale appelle à sa propre décolonisation.

Pendant que les élites de Bastos trinquent au champagne et meurent dans des hôpitaux français, les citoyens ordinaires font la queue pour des sardines périmées et des vaccins douteux. Le rêve de l’unité nationale pue plus fort que les égouts de Bonamoussadi un jour d’orage.

The INDEPENDENTIST NEWS
Article signé par The New Akwaya, Bureau de Bokwango
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AVERTISSEMENT : Cet article est une SATIRE. Toute ressemblance avec des personnes, lieux ou régimes corrompus est entièrement… volontaire.

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