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We are the voice of the Cameroonian people and their fight for freedom and democracy at a time when the Yaoundé government is silencing dissent and suppressing democratic voices.
De l’enlèvement de Sisiku, à l’effondrement de Chris Anu, à l’isolement de Marianta, à la disparition de Kometa, jusqu’à l’incarcération d’Ayaba — chaque tentative de décapitation a eu une conséquence inattendue. En écartant ceux qui étaient les plus enclins à compromettre, les plus avides d’argent ou les plus facilement dupés, l’ennemi a ironiquement purifié la révolution.
Par la Rédaction politique de The Independentist
La déstabilisation n’est pas un accident de l’histoire — c’est une stratégie. Chaque tentative de décapiter la direction de l’Ambazonie porte les empreintes de Biya et de ses parrains étrangers.
Depuis l’enlèvement illégal de Sisiku Ayuk Tabe et de son cabinet en 2018, Paul Biya, la France et la Grande-Bretagne ont multiplié les pièges et manipulations pour étouffer la quête d’indépendance de l’Ambazonie. Pourtant, dans ce processus, ils ont involontairement exposé les opportunistes, écarté les traîtres et ouvert la voie aux patriotes. Ironiquement, ce qui devait être une destruction est devenu une purification.
L’Enlèvement de Sisiku Ayuk Tabe
Sisiku Ayuk Tabe a été trompé et invité à retourner au Nigéria sous prétexte d’un accord financier pour une fédération. En réalité, il était suivi par des agents français se faisant passer pour des journalistes. Peu après, le président français Emmanuel Macron a effectué une visite au Nigéria, où un accord secret a été conclu. Peu après, Sisiku et son cabinet furent arrêtés et transférés à Yaoundé. Ce qui fut présenté comme une opération de sécurité nigériane n’était en vérité qu’un marché franco-camerounais destiné à décapiter la direction ambazonienne.
Chris Anu : Du Flambeau à la Chute
Chris Anu s’était autoproclamé la voix la plus forte de la révolution ambazonienne, mais l’histoire l’a révélé comme l’un de ses opportunistes les plus tragiques. Il a menti à plusieurs reprises sur de prétendus accords secrets, diffusé de fausses informations pour ternir la réputation du Dr Sako et tenté de le pousser à la démission à maintes reprises. Il est même allé jusqu’à essayer de le destituer — en vain.
Anu a prétendu avoir ouvert des ambassades, promis un financement massif pour la guerre et vanté une reconnaissance internationale. En réalité, aucune de ces promesses ne s’est matérialisée. Ses ambitions grandioses se sont effondrées en farce, réduites à une émission télévisée intitulée « Anchor Comrade » — un programme qu’il n’a même pas pu financer durablement.
Son humiliation finale survint lorsqu’il rentra aux États-Unis et admit publiquement que sa valise et son ordinateur avaient été saisis par la police des frontières. Mais alors, qu’est-il advenu de toutes les ambassades qu’il disait avoir ouvertes à travers le monde ?
Sa désespérance atteignit des niveaux absurdes lorsqu’il tenta de renverser de force le Dr Sako et alla jusqu’à réussir à déposer un copyright sur le label « Gouvernement intérimaire ». Mais le Dr Sako le surpassa en enregistrant légalement le Gouvernement de la République Fédérale d’Ambazonie et en assurant la continuité institutionnelle. Dès lors, Chris Anu s’est déclaré par défaut opposant, révélant son absence de vision stratégique.
En vérité, sa chute illustre plus qu’un échec personnel. Ses actes portaient les empreintes de manipulations venues de Yaoundé et d’opérateurs français — des maîtres aussi médiocres que leur pion. Aujourd’hui, il est à la retraite, plongé dans l’oubli, rappelé non pas comme un leader, mais comme une mise en garde : celle de la trahison et du potentiel gâché.
Marianta et Elvis Kometa : De l’Influence à l’Irrélevance
Marianta, nièce de Dion Ngute, crut qu’elle pouvait fonder son propre parti. Elle s’est retrouvée dans le désert politique, abandonnée et isolée. Elvis Kometa, autrefois puissant président du Conseil de Restauration, est aujourd’hui une entité inconnue, dépouillée de toute influence et de toute pertinence. Deux exemples de la manière dont l’opportunisme mène au silence.
Le Piège Britannique
Des agents britanniques ont tenté d’attirer le Dr Sako à voyager personnellement à l’étranger pour inspecter de prétendus équipements. Une mission qui devait être confiée à des techniciens compétents. Le but était clair : le placer dans une juridiction étrangère où il pouvait être compromis. En résistant, le Dr Sako a révélé les jeux d’ombre dirigés contre lui et a préservé l’intégrité de la lutte.
L’Appât Français : Biafra et Terrorisme
Les agents français ont également essayé d’impliquer le Dr Sako dans des accusations de terrorisme. Ils ont tenté d’introduire un « don » financier dans les comptes de l’Ambazonie, destiné à l’associer à la résistance biafraise. S’il l’avait accepté, le gouvernement ambazonien aurait été catalogué comme organisation terroriste.
Le Dr Sako a refusé. Mais le Dr Cho Ayaba a embrassé cette alliance, malgré les avertissements.
L’un des épisodes les plus révélateurs de manipulation fut précisément cette alliance avec le Biafra. À un moment où l’Ambazonie devait projeter sa légitimité fondée sur les résolutions de l’ONU, Ayaba choisit de s’associer à un mouvement déjà stigmatisé par le Nigéria et classé comme « terroriste » par les services de sécurité. Ce fut un cadeau pour Yaoundé et Paris. Soudain, la cause ambazonienne, distincte et légale, se trouva associée dans la perception internationale à un conflit armé sécessionniste au-delà de la frontière.
Pour Biya, c’était une propagande parfaite. Il pouvait désormais affirmer que l’Ambazonie était un foyer de « terrorisme transfrontalier » et non un mouvement politique légitime. La France amplifia le récit en Europe, l’utilisant pour bloquer la diplomatie ambazonienne. Ce qu’Ayaba voyait comme une visibilité internationale servait en réalité l’agenda de Yaoundé : délégitimer la lutte, isoler diplomatiquement l’Ambazonie et renforcer la propagande camerounaise.
Yaoundé et la France propulsèrent alors Ayaba comme leur proxy, présenté comme le visage de la révolution pour fracturer le mouvement. Mais le plan s’est effondré : aujourd’hui, Cho Ayaba est incarcéré dans une prison norvégienne, prêt à chanter comme un canari et à exposer ses bienfaiteurs — la République du Cameroun et ses parrains français.
Le Jeu Britannique du Fédéralisme
La duplicité britannique traverse les décennies. Lors de la décolonisation, Londres a abandonné le fédéralisme et poussé l’Ambazonie vers l’annexion sous le contrôle du Cameroun français. Une trahison qui allait à l’encontre de l’esprit de la Résolution 1608 de l’ONU.
Aujourd’hui, alors que le régime Biya s’effondre sous le poids de la corruption et de l’épuisement, la Grande-Bretagne revient étrangement au fédéralisme. Mais non pas comme chemin vers la liberté — plutôt comme un moyen de plaire à la France. En ressuscitant le fédéralisme, Londres espère maintenir l’Ambazonie dans l’orbite du Cameroun français, exactement comme cela avait été conçu dans les années 1960.
Ils ont accueilli Agbor Balla à Londres avec un tapis rouge, le présentant comme une voix fédéraliste raisonnable. Mais l’Ambazonie et le Dr Sako ont rapidement compris le jeu. L’hospitalité britannique n’était pas une reconnaissance de souveraineté, mais une stratégie pour saboter l’indépendance, diluer la cause ambazonienne et garder Paris aux commandes.
Purification par la Trahison
De l’enlèvement de Sisiku, à l’effondrement de Chris Anu, à l’isolement de Marianta, à la disparition de Kometa, jusqu’à l’incarcération d’Ayaba — chaque tentative de décapitation a eu une conséquence inattendue. En écartant ceux qui étaient les plus enclins à compromettre, les plus avides d’argent ou les plus facilement dupés, l’ennemi a ironiquement purifié la révolution.
Récemment, le gouvernement s’est encore renforcé grâce à l’inaction de certains membres tels qu’Emmanuel Tita, Kizito Elad et Irene Ngwa. Leur insignifiance a été mise en évidence par l’efficacité d’un gouvernement libéré des frictions internes et par sa popularité croissante sur le terrain. Ce qui fut autrefois une source de division est devenu une source d’unité, permettant au gouvernement de se concentrer pleinement sur la mission de libération.
Les vautours croyaient détruire la lutte. En réalité, ils l’ont taillée. Ils ont éliminé les opportunistes et laissé le champ de bataille aux patriotes qui ne peuvent être ni achetés ni piégés.
Conclusion
L’histoire retiendra que Biya, la France et la Grande-Bretagne ont cherché à étouffer l’Ambazonie par la tromperie, la corruption et la trahison. Mais au lieu de cela, ils ont renforcé la cause même qu’ils voulaient tuer. Leurs pièges ont exposé les traîtres, éliminé les opportunistes et élevé des leaders dotés d’une véritable résilience.
Les vautours qui planaient au-dessus de la lutte ambazonienne ont, malgré eux, aidé le Dr Sako à exceller dans la diplomatie — assurant que la marche de l’Ambazonie vers la liberté soit dirigée par des patriotes et non par des profiteurs.
De l’enlèvement de Sisiku, à l’effondrement de Chris Anu, à l’isolement de Marianta, à la disparition de Kometa, jusqu’à l’incarcération d’Ayaba — chaque tentative de décapitation a eu une conséquence inattendue. En écartant ceux qui étaient les plus enclins à compromettre, les plus avides d’argent ou les plus facilement dupés, l’ennemi a ironiquement purifié la révolution.
Par la Rédaction politique de The Independentist
La déstabilisation n’est pas un accident de l’histoire — c’est une stratégie. Chaque tentative de décapiter la direction de l’Ambazonie porte les empreintes de Biya et de ses parrains étrangers.
Depuis l’enlèvement illégal de Sisiku Ayuk Tabe et de son cabinet en 2018, Paul Biya, la France et la Grande-Bretagne ont multiplié les pièges et manipulations pour étouffer la quête d’indépendance de l’Ambazonie. Pourtant, dans ce processus, ils ont involontairement exposé les opportunistes, écarté les traîtres et ouvert la voie aux patriotes. Ironiquement, ce qui devait être une destruction est devenu une purification.
L’Enlèvement de Sisiku Ayuk Tabe
Sisiku Ayuk Tabe a été trompé et invité à retourner au Nigéria sous prétexte d’un accord financier pour une fédération. En réalité, il était suivi par des agents français se faisant passer pour des journalistes. Peu après, le président français Emmanuel Macron a effectué une visite au Nigéria, où un accord secret a été conclu. Peu après, Sisiku et son cabinet furent arrêtés et transférés à Yaoundé. Ce qui fut présenté comme une opération de sécurité nigériane n’était en vérité qu’un marché franco-camerounais destiné à décapiter la direction ambazonienne.
Chris Anu : Du Flambeau à la Chute
Chris Anu s’était autoproclamé la voix la plus forte de la révolution ambazonienne, mais l’histoire l’a révélé comme l’un de ses opportunistes les plus tragiques. Il a menti à plusieurs reprises sur de prétendus accords secrets, diffusé de fausses informations pour ternir la réputation du Dr Sako et tenté de le pousser à la démission à maintes reprises. Il est même allé jusqu’à essayer de le destituer — en vain.
Anu a prétendu avoir ouvert des ambassades, promis un financement massif pour la guerre et vanté une reconnaissance internationale. En réalité, aucune de ces promesses ne s’est matérialisée. Ses ambitions grandioses se sont effondrées en farce, réduites à une émission télévisée intitulée « Anchor Comrade » — un programme qu’il n’a même pas pu financer durablement.
Son humiliation finale survint lorsqu’il rentra aux États-Unis et admit publiquement que sa valise et son ordinateur avaient été saisis par la police des frontières. Mais alors, qu’est-il advenu de toutes les ambassades qu’il disait avoir ouvertes à travers le monde ?
Sa désespérance atteignit des niveaux absurdes lorsqu’il tenta de renverser de force le Dr Sako et alla jusqu’à réussir à déposer un copyright sur le label « Gouvernement intérimaire ». Mais le Dr Sako le surpassa en enregistrant légalement le Gouvernement de la République Fédérale d’Ambazonie et en assurant la continuité institutionnelle. Dès lors, Chris Anu s’est déclaré par défaut opposant, révélant son absence de vision stratégique.
En vérité, sa chute illustre plus qu’un échec personnel. Ses actes portaient les empreintes de manipulations venues de Yaoundé et d’opérateurs français — des maîtres aussi médiocres que leur pion. Aujourd’hui, il est à la retraite, plongé dans l’oubli, rappelé non pas comme un leader, mais comme une mise en garde : celle de la trahison et du potentiel gâché.
Marianta et Elvis Kometa : De l’Influence à l’Irrélevance
Marianta, nièce de Dion Ngute, crut qu’elle pouvait fonder son propre parti. Elle s’est retrouvée dans le désert politique, abandonnée et isolée. Elvis Kometa, autrefois puissant président du Conseil de Restauration, est aujourd’hui une entité inconnue, dépouillée de toute influence et de toute pertinence. Deux exemples de la manière dont l’opportunisme mène au silence.
Le Piège Britannique
Des agents britanniques ont tenté d’attirer le Dr Sako à voyager personnellement à l’étranger pour inspecter de prétendus équipements. Une mission qui devait être confiée à des techniciens compétents. Le but était clair : le placer dans une juridiction étrangère où il pouvait être compromis. En résistant, le Dr Sako a révélé les jeux d’ombre dirigés contre lui et a préservé l’intégrité de la lutte.
L’Appât Français : Biafra et Terrorisme
Les agents français ont également essayé d’impliquer le Dr Sako dans des accusations de terrorisme. Ils ont tenté d’introduire un « don » financier dans les comptes de l’Ambazonie, destiné à l’associer à la résistance biafraise. S’il l’avait accepté, le gouvernement ambazonien aurait été catalogué comme organisation terroriste.
Le Dr Sako a refusé. Mais le Dr Cho Ayaba a embrassé cette alliance, malgré les avertissements.
L’un des épisodes les plus révélateurs de manipulation fut précisément cette alliance avec le Biafra. À un moment où l’Ambazonie devait projeter sa légitimité fondée sur les résolutions de l’ONU, Ayaba choisit de s’associer à un mouvement déjà stigmatisé par le Nigéria et classé comme « terroriste » par les services de sécurité. Ce fut un cadeau pour Yaoundé et Paris. Soudain, la cause ambazonienne, distincte et légale, se trouva associée dans la perception internationale à un conflit armé sécessionniste au-delà de la frontière.
Pour Biya, c’était une propagande parfaite. Il pouvait désormais affirmer que l’Ambazonie était un foyer de « terrorisme transfrontalier » et non un mouvement politique légitime. La France amplifia le récit en Europe, l’utilisant pour bloquer la diplomatie ambazonienne. Ce qu’Ayaba voyait comme une visibilité internationale servait en réalité l’agenda de Yaoundé : délégitimer la lutte, isoler diplomatiquement l’Ambazonie et renforcer la propagande camerounaise.
Yaoundé et la France propulsèrent alors Ayaba comme leur proxy, présenté comme le visage de la révolution pour fracturer le mouvement. Mais le plan s’est effondré : aujourd’hui, Cho Ayaba est incarcéré dans une prison norvégienne, prêt à chanter comme un canari et à exposer ses bienfaiteurs — la République du Cameroun et ses parrains français.
Le Jeu Britannique du Fédéralisme
La duplicité britannique traverse les décennies. Lors de la décolonisation, Londres a abandonné le fédéralisme et poussé l’Ambazonie vers l’annexion sous le contrôle du Cameroun français. Une trahison qui allait à l’encontre de l’esprit de la Résolution 1608 de l’ONU.
Aujourd’hui, alors que le régime Biya s’effondre sous le poids de la corruption et de l’épuisement, la Grande-Bretagne revient étrangement au fédéralisme. Mais non pas comme chemin vers la liberté — plutôt comme un moyen de plaire à la France. En ressuscitant le fédéralisme, Londres espère maintenir l’Ambazonie dans l’orbite du Cameroun français, exactement comme cela avait été conçu dans les années 1960.
Ils ont accueilli Agbor Balla à Londres avec un tapis rouge, le présentant comme une voix fédéraliste raisonnable. Mais l’Ambazonie et le Dr Sako ont rapidement compris le jeu. L’hospitalité britannique n’était pas une reconnaissance de souveraineté, mais une stratégie pour saboter l’indépendance, diluer la cause ambazonienne et garder Paris aux commandes.
Purification par la Trahison
De l’enlèvement de Sisiku, à l’effondrement de Chris Anu, à l’isolement de Marianta, à la disparition de Kometa, jusqu’à l’incarcération d’Ayaba — chaque tentative de décapitation a eu une conséquence inattendue. En écartant ceux qui étaient les plus enclins à compromettre, les plus avides d’argent ou les plus facilement dupés, l’ennemi a ironiquement purifié la révolution.
Récemment, le gouvernement s’est encore renforcé grâce à l’inaction de certains membres tels qu’Emmanuel Tita, Kizito Elad et Irene Ngwa. Leur insignifiance a été mise en évidence par l’efficacité d’un gouvernement libéré des frictions internes et par sa popularité croissante sur le terrain. Ce qui fut autrefois une source de division est devenu une source d’unité, permettant au gouvernement de se concentrer pleinement sur la mission de libération.
Les vautours croyaient détruire la lutte. En réalité, ils l’ont taillée. Ils ont éliminé les opportunistes et laissé le champ de bataille aux patriotes qui ne peuvent être ni achetés ni piégés.
Conclusion
L’histoire retiendra que Biya, la France et la Grande-Bretagne ont cherché à étouffer l’Ambazonie par la tromperie, la corruption et la trahison. Mais au lieu de cela, ils ont renforcé la cause même qu’ils voulaient tuer. Leurs pièges ont exposé les traîtres, éliminé les opportunistes et élevé des leaders dotés d’une véritable résilience.
Les vautours qui planaient au-dessus de la lutte ambazonienne ont, malgré eux, aidé le Dr Sako à exceller dans la diplomatie — assurant que la marche de l’Ambazonie vers la liberté soit dirigée par des patriotes et non par des profiteurs.
Rédaction politique de The Independentist
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