Commentary

L’HOMME QU’ILS N’ONT PAS PU FAIRE TAIRE : Dr Sako et le Combat pour la Souveraineté de l’Ambazonie

Dr.Samuel Ikome Sako en cravat rouge

Bongo Square News avec FritzMCBobe

Le Dr Sako a rejoint le Gouvernement provisoire (IG) de l’Ambazonie en tant qu’outsider, convaincu personnellement par Sisiku Ayuk Tabe. Auparavant, il était bien connu dans les cercles militants sous le pseudonyme #Dr_Commonsense, une voix audacieuse, mais il n’avait jamais participé à un seul Conclave.

Deux mois après son arrivée, Sisiku Ayuk Tabe et les membres de son cabinet de l’IG ont été enlevés au Nigeria. Lors de l’élection d’urgence suivante, des figures comme Chris Anu (surnommé “Bucket Mouth”) et Bobga Harmony se sont présentées. Bobga a obtenu zéro voix, Chris Anu une, et Dr Sako a été élu à l’unanimité. Alors que Bobga quittait le mouvement, Chris Anu a juré de rester et de détruire Sako de l’intérieur.

En prenant les rênes, Dr Sako découvre qu’il ne reste que 5 000 $ dans le trésor. Les fonds de la levée de citoyenneté et les dons internationaux collectés lors de la tournée mondiale de Sisiku avaient disparu. La caisse était gérée par Brado Tabenyang (le frère de Sisiku) et Helen Akonji (son ex-petite amie au lycée).

Il n’existait aucune structure de défense crédible en Ambazonie. Le soi-disant Département de la Défense (DoD), mis en place par Sisiku et Milan, n’était qu’un écran de fumée. Pire encore, SCBC, présentée comme la chaîne de télévision populaire du peuple, était en réalité une entreprise privée détenue par Sisiku et Milan, financée en trompant les Ambazoniens. Dr Sako a démantelé le faux DoD, puis progressivement exposé et mis un terme à la supercherie SCBC. Les instigateurs de ces fraudes ont tenté de se regrouper sous des bannières comme SCOOP et APNC, lançant la campagne “Sako Must Go”. Mais ils n’ont pas réussi à le faire partir.

Dr Sako a découvert qu’un complot secret visait à verser 1 million de dollars à un ancien camarade devenu lobbyiste, M. Elango, contre la promesse d’une reconnaissance internationale. Cette opération se révélait être une fraude : des manifestations avaient été orchestrées pour masquer le détournement de fonds, alors que le peuple ambazonien était massacré sans défense.

En réponse, Dr Sako a mis fin à toutes ces escroqueries et fondé les Ambazonia Restoration Forces (ARF). Il a lancé My Trip To Buea (MTTB) pour financer une véritable force de défense. Hélas, des saboteurs internes issus du DoD démantelé et du mouvement “Sako Must Go”, tels que Nso Foncha, Chebs et Celeste, ont détourné une partie des fonds MTTB, privant ainsi les combattants du front. Leur but ultime : miner la crédibilité de Sako pour que le peuple le rejette.

Déterminé à garantir la transparence, Dr Sako a lancé un audit national. Mais Sisiku a ordonné à Brado et Helen Akonji d’en faire obstruction. Malgré cela, treize auditeurs issus des 13 comtés ont mené une enquête rigoureuse de 40 jours. Le rapport final, présenté par le Dr Martin Mungwa et supervisé par feu Shey Francis, alors Chef de l’Éthique gouvernementale, révélait :

¼ des fonds MTTB a servi à retrouver les disparus du Nera 10.

¼ a financé les activités douteuses de SCBC.

La moitié a été détournée par des saboteurs plutôt que vers les combattants.

Dr Sako n’a jamais perçu de salaire, contrairement à Sisiku, et aucune malversation ne lui est reprochée. Pendant ce temps, feu Eyembe Elango, Chef de cabinet de la dissidence IG‑Care, a émergé, provoquant une rivalité accrue. Un complot visant à kidnapper Dr Sako en Afrique du Sud, sous le prétexte d’un plan de paix appelé “Plan B”, a échoué lorsque son voyage a été annulé.

En 2019, sous la pression du Brigadier général Emile Bamkoui et sur ordre de Yaoundé, Sisiku a tenté de limoger Dr Sako depuis sa cellule. Cela faisait suite à l’échec du coup d’APNC mené par Bobga. Le plan était clair : éliminer Sako pour installer un négociateur docile, favorable à une solution « Un Cameroun ». Toutefois, le peuple ambazonien s’y est opposé. Refusant « la présidence d’un prisonnier », il a écarté le compromis représenté par Sisiku. La campagne “Sako Must Go” a échoué encore une fois.

Dans une suite dramatique, la mère de Chris Anu a été enlevée par les services de renseignement de Bamkoui, et un accord a été conclu : aidez Yaoundé à renverser Sako, et sa famille sera relâchée.

Chris Anu a détourné ABC TV, le transformant en entreprise personnelle. Il a empoché les donations pour le satellite, s’est versé un salaire mensuel de 2 500 $ et engagé des salariés fictifs. Il avait promis un appli, mais aucun résultat concret n’est apparu. Alerté, Sako a mis en place un Conseil d’administration pour reprendre le contrôle d’ABC. Face à cette perte de pouvoir, Chris Anu a lancé sa rébellion.

Chris a organisé des tentatives d’assassinat au Ghana et à Addis-Abeba, auxquelles Sako a échappé en refusant de se rendre sur place.

Chris a commencé à recruter des dissidents au sein de l’IG pour organiser un coup politique.

Chris a présenté une offre douteuse d’un soi-disant investisseur CDC, rapidement identifié comme un agent de La République du Cameroun. Sako a balayé le piège sans hésiter.

Après le succès du DRAFT 2020, Chris, John Egyawan et Abongwa ont proposé deux accords suspects pour des équipements militaires, l’un via un « Alhadjl » en Angola, et l’autre via « Alhadjl » en Gambie/Libéria. Dr Sako a chargé Abongwa de gérer le second, et 135 000 $ ont été détournés. Lorsque les comtés ont demandé un remboursement, Chris Anu a accusé le fournisseur d’être un escroc. Une fois encore, l’objectif était clairement de saboter Sako.

Chris a ensuite mobilisé les renégats du Conseil de restauration, comme Kometa, Christencia Asong, Dr Epah, Richard Tangu Yengo, et quelques cadres corrompus, pour fabriquer des accusations contre Sako. Ils ont échoué. Sako a demandé des preuves, qui n’existent toujours pas.

Leur dernier dessein est désormais de faire évincer Dr Sako de la table des négociations, comme exigé par LRC, et d’installer un gouvernement fantoche dans les zones contrôlées. Ils sont prêts à sacrifier l’ambition ambazonienne plutôt que de le voir triompher.

Le prétendu « Gouvernement Marianata », leur structure de rechange, a totalement échoué, au grand désarroi d’Étoudi. Leur ultime plan consiste à survivre aux poursuites judiciaires et éliminer physiquement Dr Sako. Mais Dieu a fait de Dr Sako un pilier de la libération ambazonienne, un homme qu’ils n’ont jamais réussi à faire taire.

Le volet “French Connection”. Sous une forte pression diplomatique et militaire, Mazi Nnamdi Kanu, leader sécessionniste igbo, s’est approché de Dr Sako, le couvrant de louanges et se présentant comme un allié révolutionnaire panafricaniste. Il proposait de financer la résistance ambazonienne. Mais le vrai objectif était différent : obtenir un compte bancaire officiel au nom d’Ambazonia, afin de blanchir de l’argent via ce canal, puis faire accuser Dr Sako et qualifier le mouvement de terroriste sur la scène internationale.

Flairant la machination, Dr Sako a agi avec prudence : il a fourni un compte neutre, totalement déconnecté de tout lien avec la lutte, pour tester la sincérité de l’offre. Piège avorté. Kanu n’a jamais tenu sa promesse, et le stratagème s’est effondré. Une fois encore, Dr Sako avait déjoué un complot international, protégeavnt l’intégrité morale et légale de la libération ambazonienne.

SUITE À VENIR…
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