We are home to news on Cameroon and the CEMAC region. We are dedicated to honest and reliable reporting.
We are the voice of the Cameroonian people and their fight for freedom and democracy at a time when the Yaoundé government is silencing dissent and suppressing democratic voices.
Si l’Inde a pu secouer la Couronne, si le Ghana a pu briser les chaînes de la Côte-de-l’Or, si le Botswana a pu s’élever de la pauvreté du protectorat vers la stabilité, alors l’Ambazonie peut elle aussi reconquérir sa liberté.
Par la Rédaction de l’Independentist
Le Partage Colonial
L’histoire nous enseigne une vérité douloureuse : la Grande-Bretagne comme la France ont brutalisé leurs colonies. Toutes deux ont fouetté, emprisonné et pillé. Pourtant, une fois la poussière de l’indépendance retombée, les trajectoires ont divergé radicalement.
Les anciennes colonies britanniques — l’Inde, le Ghana, le Nigeria, le Kenya, la Zambie, le Botswana, l’Afrique du Sud — en sont sorties meurtries mais vivantes. Elles ont dû affronter la corruption et les coups d’État, certes, mais elles ont pu créer un espace d’autonomie économique, bâtir des institutions plus solides et expérimenter de véritables formes de démocratie. Leurs peuples ont pu rêver, et souvent obtenir, un changement par les urnes.
Les anciennes colonies françaises, au contraire, ne furent jamais vraiment libres. Elles héritèrent de régimes marionnettes, d’économies enchaînées au franc CFA et d’armées formées pour servir Paris. Les dirigeants qui osèrent résister furent assassinés. Haïti, le Cameroun, le Tchad, le Gabon, le Bénin, le Togo et la République centrafricaine restent aujourd’hui encore piégés dans l’autoritarisme, les élections truquées et la dépendance étouffante.
L’Avenir Volé de l’Ambazonie
L’Ambazonie — l’ancien Southern Cameroons britannique — aurait dû rejoindre le rang des colonies britanniques devenues libres. Au lieu de cela, la Grande-Bretagne a trahi ses obligations de tutelle sous l’égide des Nations unies. Aucun bulletin de vote n’a offert l’indépendance. Le peuple fut poussé dans une « union » forcée avec le Cameroun français, un État déjà enchaîné à Paris.
Ainsi, l’Ambazonie n’a pas hérité des libertés relatives du Ghana ou du Botswana, mais bien de l’emprise suffocante de la Françafrique. Aujourd’hui, les Ambazoniens sont massacrés pour avoir réclamé les mêmes droits que leurs cousins nigérians et ghanéens. Notre tragédie n’est pas d’avoir combattu les colonisateurs — c’est que leur jeu colonial nous ait volé l’indépendance.
Le Fossé de la Liberté
Héritage britannique : démocraties imparfaites mais respirantes, économies en croissance, marge pour des réformes.
Héritage français : nations étouffées, coups d’État militaires, dépendance éternelle et présidents à vie.
La tragédie de l’Ambazonie est que, bien qu’ayant été un territoire britannique, elle est aujourd’hui écrasée sous l’ombre de la France.
L’Appel de l’Histoire
Le combat de l’Ambazonie n’est pas local — il est continental. Il fait partie de la libération inachevée de l’Afrique. Si l’Inde a pu secouer la Couronne, si le Ghana a pu briser les chaînes de la Côte-de-l’Or, si le Botswana a pu s’élever de la pauvreté du protectorat vers la stabilité, alors l’Ambazonie peut elle aussi reconquérir sa liberté.
Notre lutte n’est pas une rébellion — c’est une restauration. C’est la correction d’une fraude historique commise en 1961. C’est l’exigence de siéger enfin parmi les nations libres du monde.
Si l’Inde a pu secouer la Couronne, si le Ghana a pu briser les chaînes de la Côte-de-l’Or, si le Botswana a pu s’élever de la pauvreté du protectorat vers la stabilité, alors l’Ambazonie peut elle aussi reconquérir sa liberté.
Par la Rédaction de l’Independentist
Le Partage Colonial
L’histoire nous enseigne une vérité douloureuse : la Grande-Bretagne comme la France ont brutalisé leurs colonies. Toutes deux ont fouetté, emprisonné et pillé. Pourtant, une fois la poussière de l’indépendance retombée, les trajectoires ont divergé radicalement.
Les anciennes colonies britanniques — l’Inde, le Ghana, le Nigeria, le Kenya, la Zambie, le Botswana, l’Afrique du Sud — en sont sorties meurtries mais vivantes. Elles ont dû affronter la corruption et les coups d’État, certes, mais elles ont pu créer un espace d’autonomie économique, bâtir des institutions plus solides et expérimenter de véritables formes de démocratie. Leurs peuples ont pu rêver, et souvent obtenir, un changement par les urnes.
Les anciennes colonies françaises, au contraire, ne furent jamais vraiment libres. Elles héritèrent de régimes marionnettes, d’économies enchaînées au franc CFA et d’armées formées pour servir Paris. Les dirigeants qui osèrent résister furent assassinés. Haïti, le Cameroun, le Tchad, le Gabon, le Bénin, le Togo et la République centrafricaine restent aujourd’hui encore piégés dans l’autoritarisme, les élections truquées et la dépendance étouffante.
L’Avenir Volé de l’Ambazonie
L’Ambazonie — l’ancien Southern Cameroons britannique — aurait dû rejoindre le rang des colonies britanniques devenues libres. Au lieu de cela, la Grande-Bretagne a trahi ses obligations de tutelle sous l’égide des Nations unies. Aucun bulletin de vote n’a offert l’indépendance. Le peuple fut poussé dans une « union » forcée avec le Cameroun français, un État déjà enchaîné à Paris.
Ainsi, l’Ambazonie n’a pas hérité des libertés relatives du Ghana ou du Botswana, mais bien de l’emprise suffocante de la Françafrique. Aujourd’hui, les Ambazoniens sont massacrés pour avoir réclamé les mêmes droits que leurs cousins nigérians et ghanéens. Notre tragédie n’est pas d’avoir combattu les colonisateurs — c’est que leur jeu colonial nous ait volé l’indépendance.
Le Fossé de la Liberté
Héritage britannique : démocraties imparfaites mais respirantes, économies en croissance, marge pour des réformes.
Héritage français : nations étouffées, coups d’État militaires, dépendance éternelle et présidents à vie.
La tragédie de l’Ambazonie est que, bien qu’ayant été un territoire britannique, elle est aujourd’hui écrasée sous l’ombre de la France.
L’Appel de l’Histoire
Le combat de l’Ambazonie n’est pas local — il est continental. Il fait partie de la libération inachevée de l’Afrique. Si l’Inde a pu secouer la Couronne, si le Ghana a pu briser les chaînes de la Côte-de-l’Or, si le Botswana a pu s’élever de la pauvreté du protectorat vers la stabilité, alors l’Ambazonie peut elle aussi reconquérir sa liberté.
Notre lutte n’est pas une rébellion — c’est une restauration. C’est la correction d’une fraude historique commise en 1961. C’est l’exigence de siéger enfin parmi les nations libres du monde.
la Rédaction de l’Independentist
Share This Post:
LESSONS FROM BETRAYAL: Why Ambazonia Must Choose Builders
Colonial experience:Chains of France, Breath of Britain
Related Post
A concerned citizen of LRC, Vuban Jones, writes to
Tchiroma’s “Unity” Cabinet — Old Faces, New Tricks
Why Ambazonia’s Fight Is for Sovereignty, Not Rebellion: The
Communal Liberalism, Napoleonic Law, and the Unraveling of Cameroon
Government of Southern Cameroons ( Ambazonia) in exile Disclaims
The Evil of Napoleonic Justice in Françafrique — and