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Demonstrators march during a protest against perceived discrimination in favour of the country’s francophone majority on September 22, 2017 in Bamenda, the main town in northwest Cameroon and an anglophone hub. – Several thousand demonstrators took to the streets in English-speaking parts of Cameroon in protest at perceived discrimination in favour of the country’s francophone majority, concurring sources said. English-speakers have long complained that Cameroon’s wealth has not been shared out fairly and that they suffer discrimination. (Photo by STRINGER / AFP)
1er octobre 2017, la Restauration de l’Ambazonie fut proclamée — restaurant un peuple, un territoire, un gouvernement et, plus encore, un rêve.
Par Uchiba Nelson, Contributeur de l’Independentist
On dit souvent que Rome ne s’est pas construite en un jour. Une nation ne se limite pas à son gouvernement et à ses structures physiques ; elle repose aussi sur la force psychologique et morale de son peuple.
Le 1er octobre 2017, la Restauration de l’Ambazonie fut proclamée — restaurant un peuple, un territoire, un gouvernement et, plus encore, un rêve. Ceux qui avaient véritablement l’Ambazonie à cœur savaient que ce n’était que le début d’un processus de construction, de renforcement et de consolidation de chaque pilier de l’État. Pourtant, le comportement de nombreux prétendus leaders et activistes nous oblige à poser la question : Pour quel type d’Ambazonie luttaient-ils réellement — une Ambazonie qui construit ou une Ambazonie qui détruit ?
Les noms ne peuvent être évités, car la reddition de comptes fait partie de l’histoire. Des figures comme Akuroh, Akwanga, Ayuk, Boh Herbert, Fontem, Ayaba, Yerima, Milan, le Prof. Anyangwe, Harriet, Dr Liz, SCAAF, Tumasang, Gertrude Kisob, Sama Thomas, Emmanuel Tita, Christopher Fobeneh Anu, le Rév. Asong, Dr Abongwa et d’autres furent invités à différents moments — au SCACUF, au Conseil de Gouvernance, au Gouvernement du Cameroun méridional, à l’équipe ACT, aux pourparlers suisses, aux collectes de fonds par comtés, etc. Mais au lieu de s’unir et de bâtir, trop nombreux furent ceux qui choisirent de s’y opposer.
Des mensonges furent colportés. Le peuple fut distrait, trompé et démoralisé. Dans certains cas, des enlèvements et des assassinats ont apporté encore plus de souffrance. Des espoirs qui auraient dû être consolidés furent au contraire anéantis. Ces actions étaient-elles vraiment pour l’Ambazonie, ou contre elle ?
L’exemple le plus récent est la désinformation lancée par Irene Ngwa et propagée par Amos Tumenta, Kizito Elad, Emmanuel Tita et Peter Kube — prétendant que le Dr Sako aurait signé en secret un document de fédération. Or, à ce jour, il n’existe aucune preuve de lieu, aucune copie d’un tel document, rien d’autre que des allégations nées du désespoir et visant à masquer leur propre incompétence. De telles tactiques ne construisent pas une nation ; elles ne font que semer la confusion et la méfiance.
Le point culminant fut une rencontre au Canada, où des miettes furent ramassées à la table de l’ennemi, avant que beaucoup ne disparaissent du combat. Un tel comportement rend difficile de rejeter l’hypothèse que certains furent des infiltrés — conscients ou inconscients — envoyés en mission destructrice.
Aujourd’hui, le Président Sako et les Ambazoniens qui tiennent encore doivent redoubler d’efforts. Car, soyons honnêtes, la génération suivante ne paraît pas encore prête à porter ce fardeau. Pire encore, ceux qui prétendaient autrefois diriger se sont laissés acheter, formant des coalitions d’irrélevance. Les restes des putschistes ne font que semer la distraction.
L’Ambazonie mérite des leaders et des activistes qui bâtissent, et non ceux qui détruisent. L’histoire tranchera entre ceux qui ont combattu avec sincérité et ceux qui ont servi les mains de l’ennemi. L’avenir de notre nation dépend de cette leçon.
1er octobre 2017, la Restauration de l’Ambazonie fut proclamée — restaurant un peuple, un territoire, un gouvernement et, plus encore, un rêve.
Par Uchiba Nelson, Contributeur de l’Independentist
On dit souvent que Rome ne s’est pas construite en un jour. Une nation ne se limite pas à son gouvernement et à ses structures physiques ; elle repose aussi sur la force psychologique et morale de son peuple.
Le 1er octobre 2017, la Restauration de l’Ambazonie fut proclamée — restaurant un peuple, un territoire, un gouvernement et, plus encore, un rêve. Ceux qui avaient véritablement l’Ambazonie à cœur savaient que ce n’était que le début d’un processus de construction, de renforcement et de consolidation de chaque pilier de l’État. Pourtant, le comportement de nombreux prétendus leaders et activistes nous oblige à poser la question : Pour quel type d’Ambazonie luttaient-ils réellement — une Ambazonie qui construit ou une Ambazonie qui détruit ?
Les noms ne peuvent être évités, car la reddition de comptes fait partie de l’histoire. Des figures comme Akuroh, Akwanga, Ayuk, Boh Herbert, Fontem, Ayaba, Yerima, Milan, le Prof. Anyangwe, Harriet, Dr Liz, SCAAF, Tumasang, Gertrude Kisob, Sama Thomas, Emmanuel Tita, Christopher Fobeneh Anu, le Rév. Asong, Dr Abongwa et d’autres furent invités à différents moments — au SCACUF, au Conseil de Gouvernance, au Gouvernement du Cameroun méridional, à l’équipe ACT, aux pourparlers suisses, aux collectes de fonds par comtés, etc. Mais au lieu de s’unir et de bâtir, trop nombreux furent ceux qui choisirent de s’y opposer.
Des mensonges furent colportés. Le peuple fut distrait, trompé et démoralisé. Dans certains cas, des enlèvements et des assassinats ont apporté encore plus de souffrance. Des espoirs qui auraient dû être consolidés furent au contraire anéantis. Ces actions étaient-elles vraiment pour l’Ambazonie, ou contre elle ?
L’exemple le plus récent est la désinformation lancée par Irene Ngwa et propagée par Amos Tumenta, Kizito Elad, Emmanuel Tita et Peter Kube — prétendant que le Dr Sako aurait signé en secret un document de fédération. Or, à ce jour, il n’existe aucune preuve de lieu, aucune copie d’un tel document, rien d’autre que des allégations nées du désespoir et visant à masquer leur propre incompétence. De telles tactiques ne construisent pas une nation ; elles ne font que semer la confusion et la méfiance.
Le point culminant fut une rencontre au Canada, où des miettes furent ramassées à la table de l’ennemi, avant que beaucoup ne disparaissent du combat. Un tel comportement rend difficile de rejeter l’hypothèse que certains furent des infiltrés — conscients ou inconscients — envoyés en mission destructrice.
Aujourd’hui, le Président Sako et les Ambazoniens qui tiennent encore doivent redoubler d’efforts. Car, soyons honnêtes, la génération suivante ne paraît pas encore prête à porter ce fardeau. Pire encore, ceux qui prétendaient autrefois diriger se sont laissés acheter, formant des coalitions d’irrélevance. Les restes des putschistes ne font que semer la distraction.
L’Ambazonie mérite des leaders et des activistes qui bâtissent, et non ceux qui détruisent. L’histoire tranchera entre ceux qui ont combattu avec sincérité et ceux qui ont servi les mains de l’ennemi. L’avenir de notre nation dépend de cette leçon.
Uchiba Nelson
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